>> Merci Nelly pour ce superbe montage (cliquer dessus pour agrandir) de la manifestation du 6 novembre pour soutenir le droit à l'ivg puis contre la réforme des retraites "recul pour les femmes".
>> Le mercredi ... c’est «Femme Libres» sur Radio Libertaire, de 18 h 30 à 20 h 30. Ce mercredi avec Martine Storti, dans le cadre des 40 ans du mouvement pour le Congrès international féministe : «Le féminisme à l’épreuve des mutations géopolitiques (les 3, 4 et 5 décembre au Palais de la Femme - 94, rue de Charonne, Paris 11e). Tout le programme sur : http://re-belles.over-blog.com
• L’émission «Femme Libres» du mercredi est ensuite téléchargeable toute la semaine ICI
• Le site internet de Radio Libertaire ICI
>> Le mercredi ... c’est «Femme Libres» sur Radio Libertaire, de 18 h 30 à 20 h 30. Ce mercredi avec Martine Storti, dans le cadre des 40 ans du mouvement pour le Congrès international féministe : «Le féminisme à l’épreuve des mutations géopolitiques (les 3, 4 et 5 décembre au Palais de la Femme - 94, rue de Charonne, Paris 11e). Tout le programme sur : http://re-belles.over-blog.com
• L’émission «Femme Libres» du mercredi est ensuite téléchargeable toute la semaine ICI
• Le site internet de Radio Libertaire ICI
* * * Le "ras la pub" du mercredi * * *
Extrait d’«À bas la pub», par Gérard Biard, Charlie Hebdo du 10 nov. 2010.
«Régulièrement, Libération propose à une personnalité de devenir, le temps d’un numéro, rédacteur en chef du journal et d’intervenir à intervalles réguliers dans les pages. Le 5 novembre, ce rédacteur en chef d’un jour était Monoprix, célèbre philosophe de la consommation dont les ouvrages sont coédités par Galeries Lafayette et Casino. (...)
Vous aurez rectifié vous-mêmes, ce 5 novembre, Libération n’avait pas confié la direction éditoriale du journal à un intellectuel mais à la pub. "Une bonne manière, explique Laurent Joffrin dans son billet, de conjuguer presse et publicité, dans le respect de chacun." Respect dont la fausse "une" publicitaire qui recouvre et masque totalement la vraie "une" journalistique est la plus belle preuve...» Gérard Biard
«Régulièrement, Libération propose à une personnalité de devenir, le temps d’un numéro, rédacteur en chef du journal et d’intervenir à intervalles réguliers dans les pages. Le 5 novembre, ce rédacteur en chef d’un jour était Monoprix, célèbre philosophe de la consommation dont les ouvrages sont coédités par Galeries Lafayette et Casino. (...)
Vous aurez rectifié vous-mêmes, ce 5 novembre, Libération n’avait pas confié la direction éditoriale du journal à un intellectuel mais à la pub. "Une bonne manière, explique Laurent Joffrin dans son billet, de conjuguer presse et publicité, dans le respect de chacun." Respect dont la fausse "une" publicitaire qui recouvre et masque totalement la vraie "une" journalistique est la plus belle preuve...» Gérard Biard