Depuis quelques jours, le déferlement de déclarations d'élues de différents partis (à lire ici...), témoigne de la persistance chez certains de leurs collègues de comportements machistes.
Les affaires Strauss-Kahn et Tron auraient-elles libéré la parole des femmes ?
Légitimation du sexisme ordinaire Depuis 1999, les Chiennes de garde ont pris la défense de femmes politiques insultées publiquement en tant que femmes : ce fut le cas, entre autres, de Dominique Voynet, Ségolène Royal, Anne-Marie Comparini.
Aujourd’hui, on semble découvrir la persistance de ce machisme ordinaire et pernicieux qui s’exerce toujours à l’abri d’un hémicycle de la République. > suite à lire sur le site ICI...