- RADIO : Le mercredi c'est Femmes Libres sur Radio Libertaire, de 18h30 à 20h30. Ce mercredi, Martine et Thibault viendront présenter les activités du Centre Hubertine Auclert, centre de ressources francilien pour l’égalité entre les femmes et les hommes : objectifs, activités, réalisations... Le site internet du Centre est ICI...L’émission «Femmes Libres» du mercredi est téléchargeable toute la semaine ICI • Le site internet de Radio Libertaire est ICI
- Le site "IVG je vais bien, merci" ICI... a un an et publie un livre qui sort aujourd'hui.
"Un ouvrage décomplexé.
Parler de l'avortement d'une manière positive permet de réaffirmer que
l'IVG n'est pas une session de rattrapage pour mauvaises élèves, avec
justificatifs et excuses à fournir. Il s'agit de clamer haut et fort que
les femmes qui avortent ne sont ni des idiotes ni des inconséquentes,
et n'ont pas à se sentir coupables, honteuses ou forcément malheureuses.
Il s'agit enfin de revendiquer le droit d'avorter la tête haute, parce
que défendre le droit à l'avortement ne doit pas se limiter à quémander
des miettes de tolérance ou un allongement de la corde autour du piquet :
l'IVG est un droit, l'IVG est une solution, et c'est un choix qui doit
être respecté. Suite sur le site de l'éditeur ICI...
- Un livre de Mona Chollet "Beauté Fatale" sur la dictature de l'apparence pour les femmes, présentation sur le site Les Nouvelles News ICI... lecture possible en ligne ICI...
- Publicité l'Étudiant : il en a été question sur le blog ICI...
Cette campagne a suscité bien des réactions: personnalités du monde de
la culture, individu-es, association les Chiennes de garde... Malgré
tout, le Jury de "Déontologie" Publicitaire (JDP) a décidé de balayer ça d'un
revers de main et de rejeter les plaintes verdict ICI...
- Publicités sexistes : l'occasion d'un rappel car au delà du JDP, l'espace PUBLIC est aussi le nôtre.
Et les marques n'ont aucun intérêt à nous mécontenter trop. Donc ne
jamais hésiter à prendre le temps d'écrire (par courrier c'est +
efficace)... car notre avis est pris en compte pour peu que nous soyons
nombreux-ses à nous mobiliser : en langage marketing 1 courrier
mécontent reçu équivaut à 1.000 personnes qui n'ont pas apprécié la pub
ou le produit mais n'ont rien dit. Chaque acte que vous posez = 1.000
personnes ;o). Donc si vous n'avez plus l'intention d'acheter tel
produit car sa publicité sexiste vous horripile, dites-le à
l'annonceur... Si l'abrutissement publicitaire devient contre-productif
et vous coupe l'envie de consommer... n'hésitez pas à le faire savoir à
la marque en expliquant pourquoi...