jeudi 29 octobre 2009

le Q oui, la sexualité féminine non.


C'est un simple constat assez révoltant. Notre Q féminin s'étale absolument partout, sous les prétextes les plus divers : aide à vendre des biscuits, de l'informatique ou des yaourts (qui partiraient moins bien sans nos fesses).
Il y a aussi ces sommes fabuleuses drainées par l'industrie porno et prostitutionnelle, et peu importe ce qui est fait aux femmes dans cette broyeuse à viande pourvu que ça rapporte.

Dans le même temps, des choses aussi basiques mais fondamentales pour nous que le droit à l'avortement, les plannings familiaux et l'accès à la gynécologie médicale disparaissent sans bruit parce que l'Etat a pris ces décisions-là.
Et peu importe ce qui advient des femmes, du moment que leur corps rapporte un maximum et qu'il ne coûte rien.